Bordeaux, l'architecture et son double

Marc Saboya | Bordeaux l'architecture et son double | Le Festin
Bordeaux, l'architecture et son double

Marc Saboya - NOUVEAU PRIX : 9,90 € au lieu de 22 €
2013 / 128 pages / 16,5 x 23 cm / ISBN : 978-2-36062-085-2

 

La ville, en ses marges et ses centres, est un formidable terrain d’exploration. Depuis de nombreuses années, Marc Saboya, historien de l’art et maître de conférences honoraire à l’université Bordeaux III, poursuit sa quête « d’explorateur urbain », dévoilant, dans chaque nouvelle livraison de la revue Le Festin, les côtés cachés, insoupçonnés ou inaperçus de l’architecture à Bordeaux. Après le succès du premier tome Ordre et désordre (2008), une sélection de ses nouvelles chroniques et de nombreux inédits poursuivent cette reconnaissance revigorante du paysage architectural de la ville.

 

  • Extrait de "Bordeaux l'architecture et son double" de Marc Saboya - Éditions Le Festin
  • Extrait de "Bordeaux l'architecture et son double" de Marc Saboya - Éditions Le Festin
  • Extrait de "Bordeaux l'architecture et son double" de Marc Saboya - Éditions Le Festin
  • Extrait de "Bordeaux l'architecture et son double" de Marc Saboya - Éditions Le Festin
  • Extrait de "Bordeaux l'architecture et son double" de Marc Saboya - Éditions Le Festin
Sommaire 

Dans Bordeaux, l’architecture et son double, Marc Saboya propose au passant, usager et consommateur passif de sa ville de franchir le miroir des certitudes ou la paresse coutumière. « Pour le citadin, écrit-il, regarder ailleurs, audelà de la sphère des valeurs plus imposées que proposées, est une saine entreprise de désenvoûtement qui peut mener à la construction d’un nouvel imaginaire urbain. » À côté des monuments insignes et labellisés, le chercheur-arpenteur part une nouvelle fois en quête de ces découvertes impromptues que le hasard fait naître au détour d’une rue ou d’une impasse, dans une zone déshéritée… Lorsqu’il interrompt sa marche, c’est parce que « le tissu fatigué de la familiarité craque, se déchire et fait apparaître le questionnement. » De l’observation attentive de ces faits architecturaux souvent ignorés, l’historien de l’art tire la matière de ses commentaires nourris d’une vaste culture complétée par des recherches en archives. Il leur redonne ainsi une place dans la longue élaboration des styles, de leurs bousculements, met au jour les tâtonnements et les contradictions de langages et transcende, pour le lecteur, l’anonyme et l’inaperçu en un témoignage palpable de ce qui constitue aussi – éminemment – Bordeaux.